30 juin 2009
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De nouveau on monte encore vers un col, le Tizi N'Talghaumt, à 1907 mètres d’altitude. Les paysages sont rocailleux et on aperçoit quelques tentes noires de berbères dans les montagnes. Tout au long de cette ascension, sur le bord de la route, des bouteilles sont posées sur des pierres, on nous dit que c’est du miel à vendre, probablement de romarin.
Après ce col, on bascule sur le versant saharien du Haut Atlas, et on passe de Reg en oasis, jusqu'au fameux tunnel du Légionnaire. Puis, on se retrouve dans les Gorges du Ziz, l’oued est bordé par des courbes de montagnes rouges, le panorama change subitement pour faire place à un long serpent de palmiers d’une beauté époustouflante.
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27 juin 2009
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Meknes,Vollubilis ne sont pas les seuls charmes du Maroc, il n'y a pas que des sultants. Il y a aussi Shéhérazade.
La danse du ventre est née dans les temples et au cœur du corps des femmes. Elle a perduré grâce à la transmission des mères. Du temps des pharaons, les prêtresses sacrées faisaient tournoyer leur corps et ondulaient leur ventre afin que la déesse de l’amour et de la fécondité vienne prendre possession d’elles ; ensuite la divinité qu’elles étaient devenues, s’offrait aux hommes. Mais entre temps, la déesse était devenue un Dieu et la femme porteuse de vie fut transformée en une créature dangereuse qui réclama la tête de Jean-Baptiste pour le prix de sa danse. Pat le biker ne sera pas dupe , il ne regardera pas tout simplement mais participera directement à la danse et c'est la danseuse qui succombera. Prétentieux ce biker hein !!!
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24 juin 2009
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On continue notre visite de Fés à travers les 9.400 ruelles dans lesquelles se perdre : un enchevêtrement de mosquées, petites cours, riads, fondouks, mausolées et jardins... Et puis il y a les souks des tanneurs, au nord de la medersa Seffarine. Dans la medina, les archaïques tanneries de Chouara, s'annonnent par leur odeur tenace. C'est en bordure de l'oued Fes, qu'elles offrent un spectacle assez extraordinaire à partir d'un balcon ou nous les découvrons, avec les grandes cuves de liquides de couleurs vives ou pataugent des hommes dans une puanteur féroce. Un metier penible et ingras , mais pour les touristes que nous sommes , un spectacle à ne pas manquer .
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