Il y a une avenue à Nice dite « voie Henri Pierre Mathis » qui vous facilitera la sortie sur les différents quartiers de la ville quand vous venez de l’autoroute du sud, en prenant soit la sortie « promenade des Anglais » ou bien « Nice Saint Augustin », vous pénétrerez sur celle ci. Quand enfin sur cette route, vous apercevrez la sortie « Cimiez », emprunter la et vous serrez dans l’un des plus beaux quartiers et des plus intéressants de la ville. Vous y côtoierez les belles villas de la belle époque et des années folles, mais vous y découvrirez aussi la cité antique.

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Elles annoncent une période d’opulence et de joie de vivre : une ville neuve surgit face au vieux Nice en rassemblant le luxe et l'oisiveté de toute l'Europe. Parce qu’elle rassemble ces privilégiés Nice est différente d’ailleurs : elle bâtie pour le plaisir et les distractions d'une classe sociale privilégiée. C’est sans doute le climat doux et la qualité de vie qui attire massivement une population aristocratique internationale dès le XIXème siècle. Ces princes se font construire des bâtiments somptueux dans de grands parcs. Nice comptait 35 hôtels en 1860, 130 en 1900, 180 en 1910.Chaque palais arbore sur ses façades des éléments architectoniques divers, parfois sans relation. C’est à qui sera le plus remarqué, on aboutit à un étalage de formes moulées dans le stuc et agrémentés de couleurs vives. Ainsi les élites mondiales affichent leur culture. La ville est partagée par 3 groupes d'étrangers qui exercent leur influence : russes, anglo-saxons et français. Ainsi la reine Victoria, les rois Léopold II de Belgique, Oscar de Suède, mais aussi les artistes et intellectuels tels que Nietzche, Tchekhov, Matisse affluent sur la ville étincelante.

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